Oui, je fais partie de la génération Bridget Jones, et autres Sex and the City, qui croit dur comme fer que le Cosmopolitan donne de lesprit (le cocktail, pas le magazine !), et que le seul boyfriend envisageable soit une sorte de Largo Wynch sponsorisé par Dior. Parce que je le vaux bien ! Hic ! Mais ici, avec les Confessions dune accro du shopping au ciné ce mois-ci, laccro de la chick litt (« littérature pour poulettes ») que je suis, tombe en dépression. BEREZINAAAA, hic !
Une héroïne vraiment « tête à claques »
OK, nous avons affaire ici à une sacrée « addict ». Les mannequins des vitrines lui soufflent en permanence la chanson du bonheur et ses nombreuses cartes de crédit lui autorisent toutes ses folies. Evidemment, ça va se gâter pour la miss et ce dès le début du film, mais cette dernière ne voit rien venir (et ce pendant les trois quarts du film!) malgré son job si intellectuel de journaliste branchée.